Linux Virtual Delivery Agent

Installer manuellement Linux Virtual Delivery Agent pour Ubuntu

Important :

Pour les nouvelles installations, nous vous recommandons d’utiliser Easy Install pour effectuer une installation rapide. Easy Install permet de gagner du temps et d’économiser de la main d’œuvre. Cette installation est également plus fiable que l’installation manuelle décrite dans cet article.

Étape 1 : préparer Ubuntu pour l’installation du VDA

Étape 1a : vérifier la configuration réseau

Assurez-vous que le réseau est connecté et correctement configuré. Par exemple, vous devez configurer le serveur DNS sur le Linux VDA.

Si vous utilisez un serveur Ubuntu 18.04 Live Server, effectuez la modification suivante dans le fichier de configuration /etc/cloud/cloud.cfg avant de définir le nom d’hôte :

preserve_hostname: true

Étape 1b : définir le nom d’hôte

Pour vous assurer que le nom d’hôte de la machine est indiqué correctement, modifiez le fichier /etc/hostname afin que celui-ci contienne uniquement le nom d’hôte de la machine.

hostname

Étape 1c : attribuer une adresse de bouclage au nom d’hôte

Assurez-vous que le nom de domaine DNS et le nom de domaine complet (FQDN) de la machine sont signalés correctement. Pour ce faire, modifiez la ligne suivante du fichier /etc/hosts pour inclure le nom de domaine complet et le nom d’hôte en tant que deux premières entrées :

127.0.0.1 hostname-fqdn hostname localhost

Par exemple :

127.0.0.1 vda01.example.com vda01 localhost

Supprimez toute autre référence à hostname-fqdn ou hostname des autres entrées du fichier.

Remarque :

Le Linux VDA ne prend actuellement pas en charge la troncation de noms NetBIOS. Par conséquent, le nom d’hôte ne doit pas comporter plus de 15 caractères.

Conseil :

Utilisez uniquement les caractères a–z, A–Z, 0–9 et tiret (-). Évitez les caractères de soulignement (_), les espaces et autres symboles. Ne démarrez pas un nom d’hôte par un chiffre et ne le terminez pas par un tiret. Cette règle s’applique également aux noms d’hôte Delivery Controller.

Étape 1d : vérifier le nom d’hôte

Vérifiez que le nom d’hôte est correctement configuré :

hostname
<!--NeedCopy-->

Cette commande renvoie uniquement le nom d’hôte de la machine et non son nom de domaine complet.

Vérifiez que le nom de domaine complet est correctement configuré :

hostname -f
<!--NeedCopy-->

Cette commande renvoie le nom de domaine complet de la machine.

Étape 1e : désactiver DNS multidiffusion

Les paramètres par défaut activent DNS multidiffusion (mDNS), ce qui peut entraîner des résultats incohérents de résolution de nom.

Pour désactiver mDNS, modifiez le fichier /etc/nsswitch.conf et dans la ligne suivante remplacez :

hosts: files mdns_minimal [NOTFOUND=return] dns

par :

hosts: files dns

Étape 1f : vérifier la résolution de nom et l’accessibilité du service

Vérifiez que vous pouvez résoudre le nom de domaine complet et effectuer un sondage ping sur le contrôleur de domaine et le Delivery Controller :

nslookup domain-controller-fqdn

ping domain-controller-fqdn

nslookup delivery-controller-fqdn

ping delivery-controller-fqdn
<!--NeedCopy-->

Si vous ne pouvez pas résoudre le nom de domaine complet ou effectuer un sondage ping sur l’une de ces machines, reprenez les étapes avant de continuer.

Étape 1g : configurer la synchronisation de l’horloge (chrony)

Il est très important de maintenir la synchronisation de l’horloge entre les VDA, les Delivery Controller et les contrôleurs de domaine. L’hébergement du Linux VDA en tant que machine virtuelle peut entraîner des problèmes de décalage d’horloge. Pour cette raison, il est recommandé de synchroniser l’heure avec un service de temps à distance.

Installez chrony :

apt-get install chrony
<!--NeedCopy-->

En tant qu’utilisateur racine, modifiez /etc/chrony/chrony.conf et ajoutez une entrée de serveur pour chaque serveur de temps distant :

server peer1-fqdn-or-ip-address iburst
server peer2-fqdn-or-ip-address iburst

Dans un déploiement type, synchronisez l’heure depuis les contrôleurs de domaine locaux et non pas directement depuis des serveurs de pool NTP publics. Ajoutez une entrée de serveur pour chaque contrôleur de domaine Active Directory du domaine.

Supprimez toute autre entrée server ou pool répertoriée, y compris les entrées d’adresse IP de bouclage, localhost et *.pool.ntp.org de serveur public.

Enregistrez les modifications et redémarrez le démon Chrony :

sudo systemctl restart chrony
<!--NeedCopy-->

Étape 1h : installer OpenJDK 11

Le Linux VDA nécessite la présence d’OpenJDK 11.

Sur Ubuntu 20.04 et Ubuntu 18.04, installez OpenJDK 11 en utilisant :

sudo apt-get install -y openjdk-11-jdk
<!--NeedCopy-->

Étape 1i : installer PostgreSQL

Le Linux VDA requiert PostgreSQL version 9.x sur Ubuntu :

sudo apt-get install -y postgresql

sudo apt-get install -y libpostgresql-jdbc-java
<!--NeedCopy-->

Étape 1j : installer Motif

sudo apt-get install -y libxm4
<!--NeedCopy-->

Étape 1k : installer les autres packages

Pour Ubuntu 22.04 :

sudo apt-get install -y libsasl2-2
sudo apt-get install -y libsasl2-modules-gssapi-mit
sudo apt-get install -y libldap-2.5-0
sudo apt-get install -y krb5-user
sudo apt-get install -y libgtk2.0-0
<!--NeedCopy-->

Pour Ubuntu 20.04 et Ubuntu 18.04 :

sudo apt-get install -y libsasl2-2
sudo apt-get install -y libsasl2-modules-gssapi-mit
sudo apt-get install -y libldap-2.4-2
sudo apt-get install -y krb5-user
sudo apt-get install -y libgtk2.0-0
<!--NeedCopy-->

Étape 2 : préparer l’hyperviseur

Certaines modifications sont requises pour l’exécution du Linux VDA en tant que machine virtuelle sur un hyperviseur pris en charge. Apportez les modifications suivantes en fonction de la plateforme d’hyperviseur utilisée. Aucune modification n’est requise si vous utilisez la machine Linux sur un matériel bare metal.

Corriger la synchronisation de l’heure sur Citrix Hypervisor

Si la fonctionnalité de synchronisation de l’heure de Citrix Hypervisor est activée, vous rencontrerez des problèmes dans chaque VM Linux paravirtualisée avec NTP et Citrix Hypervisor. En effet, les deux systèmes essaient de gérer l’horloge système. Pour éviter que l’horloge ne soit plus synchronisée avec d’autres serveurs, assurez-vous l’horloge du système de chaque invité Linux est synchronisée avec NTP. Cela nécessite la désactivation de la synchronisation de l’heure de l’hôte. Aucune modification n’est requise en mode HVM.

Si vous utilisez un noyau Linux paravirtualisé avec le composant Citrix VM Tools installé, vous pouvez vérifier si la fonctionnalité de synchronisation de l’heure de Citrix Hypervisor est présente et activée à partir de la VM Linux :

su -

cat /proc/sys/xen/independent_wallclock
<!--NeedCopy-->

Cette commande renvoie 0 ou 1 :

  • 0 - La fonctionnalité de synchronisation de l’heure est activée, et doit être désactivée.
  • 1 - La fonctionnalité de synchronisation de l’heure est désactivée, et aucune action n’est requise.

Si le fichier /proc/sys/xen/independent_wallclock n’existe pas, les étapes suivantes ne sont pas nécessaires.

Si la fonctionnalité de synchronisation est désactivée, désactivez-la en entrant 1 dans le fichier :

sudo echo 1 > /proc/sys/xen/independent_wallclock
<!--NeedCopy-->

Pour rendre cette modification permanente et persistante après le redémarrage, modifiez le fichier /etc/sysctl.conf et ajoutez la ligne :

xen.independent_wallclock = 1

Pour vérifier ces modifications, redémarrez le système :

su -

cat /proc/sys/xen/independent_wallclock
<!--NeedCopy-->

Cette commande renvoie la valeur 1.

Corriger la synchronisation de l’heure sur Microsoft Hyper-V

Les VM Linux sur lesquelles Hyper-V Integration Services est installé peuvent utiliser la fonctionnalité de synchronisation de l’heure Hyper-V pour utiliser l’heure du système d’exploitation hôte. Pour vous assurer que l’horloge du système est toujours précise, activez cette fonctionnalité avec les services NTP.

Depuis le système d’exploitation de gestion :

  1. Ouvrez la console du gestionnaire Hyper-V.
  2. Pour les paramètres d’une machine virtuelle Linux, sélectionnez Integration Services.
  3. Assurez-vous que Time synchronization est sélectionné.

Remarque :

cette approche diffère de VMware et Citrix Hypervisor, pour lesquels la synchronisation de l’heure est désactivée pour éviter tout conflit avec NTP. La synchronisation de l’heure Hyper-V peut co-exister avec la synchronisation de l’heure NTP.

Corriger la synchronisation de l’heure sur ESX et ESXi

Si la fonctionnalité de synchronisation de l’heure de VMware est activée, vous rencontrerez des problèmes dans chaque VM Linux paravirtualisée avec l’hyperviseur et NTP. En effet, les deux systèmes essaient de synchroniser l’horloge système. Pour éviter que l’horloge ne soit plus synchronisée avec d’autres serveurs, assurez-vous l’horloge du système de chaque invité Linux est synchronisée avec NTP. Cela nécessite la désactivation de la synchronisation de l’heure de l’hôte.

Si vous exécutez un noyau Linux paravirtualisé sur lequel VMware Tools est installé :

  1. Ouvrez vSphere Client.
  2. Modifiez les paramètres pour la VM Linux.
  3. Dans la boîte de dialogue Virtual Machine Properties (Propriétés de la machine virtuelle), ouvrez l’onglet Options.
  4. Sélectionnez VMware Tools.
  5. Dans la zone Advanced (Avancé), désélectionnez Synchronize guest time with host (Synchroniser l’heure de l’invité avec l’hôte).

Étape 3 : ajouter la machine virtuelle (VM) Linux au domaine Windows

Le Linux VDA prend en charge plusieurs méthodes pour ajouter des machines Linux au domaine Active Directory (AD) :

Suivez les instructions en fonction de la méthode choisie.

Remarque :

Les lancements de session peuvent échouer lorsque le même nom d’utilisateur est utilisé pour le compte local dans le Linux VDA et le compte dans AD.

Samba Winbind

Installer ou mettre à jour les packages requis

sudo apt-get install winbind samba libnss-winbind libpam-winbind krb5-config krb5-locales krb5-user
<!--NeedCopy-->

Activer le démon Winbind pour qu’il soit lancé au démarrage de la machine

Le démon Winbind doit être configuré pour être lancé au démarrage de la machine :

sudo systemctl enable winbind
<!--NeedCopy-->

Remarque :

Assurez-vous que le script winbind se trouve sous /etc/init.d.

Configurer Kerberos

Ouvrez /etc/krb5.conf en tant qu’utilisateur racine et configurez les paramètres suivants :

Remarque :

Configurez Kerberos en fonction de votre infrastructure AD. Les paramètres suivants sont destinés au modèle à domaine et à forêt uniques.

[libdefaults]

default_realm = REALM

dns_lookup_kdc = false

[realms]

REALM = {

admin_server = domain-controller-fqdn

kdc = domain-controller-fqdn

}

[domain_realm]

domain-dns-name = REALM

.domain-dns-name = REALM

Dans ce contexte, le paramètre domain-dns-name est le nom de domaine DNS, tel que exemple.com. L’élément REALM est le nom du royaume Kerberos en majuscules, tel que EXEMPLE.COM.

Configurer l’authentification Winbind

Vous devez configurer Winbind manuellement car Ubuntu ne possède pas d’outil tel que authconfig dans RHEL et yast2 dans SUSE.

Ouvrez /etc/samba/smb.conf et configurez les paramètres suivants :

[global]

workgroup = WORKGROUP

security = ADS

realm = REALM

encrypt passwords = yes

idmap config *:range = 16777216-33554431

winbind trusted domains only = no

kerberos method = secrets and keytab

winbind refresh tickets = yes

template shell = /bin/bash

WORKGROUP est le premier champ dans REALM, et REALM est le nom de domaine Kerberos en majuscules.

Configurer nsswitch

Ouvrez /etc/nsswitch.conf et ajoutez winbind aux lignes suivantes :

passwd: compat winbind
group: compat winbind

Rejoindre un domaine Windows

Votre contrôleur de domaine doit être accessible et vous devez disposer d’un compte utilisateur Active Directory avec les autorisations nécessaires pour ajouter des ordinateurs au domaine :

sudo net ads join REALM -U user
<!--NeedCopy-->

REALM est le nom de domaine Kerberos en majuscules, et user est un utilisateur de domaine disposant des autorisations nécessaires pour ajouter les ordinateurs au domaine.

Redémarrer winbind

sudo systemctl restart winbind
<!--NeedCopy-->

Configurer PAM pour Winbind

Exécutez la commande suivante et assurez-vous que les options Winbind NT/Active Directory authentication et Create home directory on login sont sélectionnées :

sudo pam-auth-update
<!--NeedCopy-->

Conseil :

Le démon winbind ne reste en cours d’exécution que si la machine est associée à un domaine.

Vérifier l’appartenance à un domaine

Le Delivery Controller requiert que toutes les machines VDA, Windows ou Linux, aient un objet ordinateur dans Active Directory.

Exécutez la commande net ads de Samba pour vérifier si la machine est associée à un domaine :

sudo net ads testjoin
<!--NeedCopy-->

Exécutez la commande suivante pour vérifier les informations d’objet de domaine et d’ordinateur supplémentaires :

sudo net ads info
<!--NeedCopy-->

Vérifier la configuration de Kerberos

Pour vérifier que Kerberos est correctement configuré pour être utilisé avec le VDA Linux, vérifiez que le fichier keytab système a été créé et contient des clés valides :

sudo klist -ke
<!--NeedCopy-->

Cette commande affiche la liste des clés disponibles pour les différentes combinaisons de noms principaux et de suites de chiffrement. Exécutez la commande kinit Kerberos pour authentifier la machine auprès du contrôleur de domaine à l’aide de ces clés :

sudo kinit -k MACHINE$@REALM
<!--NeedCopy-->

Les noms de machine et de domaine doivent être spécifiés en majuscules. Le signe dollar ($) doit être placé dans une séquence d’échappement avec une barre oblique inversée (\) pour empêcher le remplacement shell. Dans certains environnements, le nom de domaine DNS est différent du nom de domaine Kerberos. Assurez-vous que le nom de domaine est utilisé. Si cette commande réussit, aucun résultat n’est affiché.

Vérifiez que le ticket TGT pour le compte de machine a été mis en cache à l’aide de :

sudo klist
<!--NeedCopy-->

Examinez les détails du compte de machine à l’aide de :

sudo net ads status
<!--NeedCopy-->

Vérifier l’authentification utilisateur

Utilisez l’outil wbinfo pour vérifier que les utilisateurs de domaine peuvent s’authentifier auprès du domaine :

wbinfo --krb5auth=domain\username%password
<!--NeedCopy-->

Le domaine spécifié ici est le nom de domaine Active Directory, et non le nom de domaine Kerberos. Pour le shell bash, la barre oblique inverse (\) doit être placée dans une séquence d’échappement avec une autre barre oblique inverse. Cette commande renvoie un message indiquant la réussite ou l’échec.

Pour vérifier que le module PAM Winbind est correctement configuré, ouvrez une session sur le Linux VDA à l’aide d’un compte d’utilisateur de domaine qui n’a jamais été utilisé.

ssh localhost -l domain\username

id -u
<!--NeedCopy-->

Remarque :

Pour exécuter une commande SSH avec succès, assurez-vous que SSH est activé et fonctionne correctement.

Vérifiez qu’un fichier cache d’identification Kerberos correspondant a été créé pour le UID renvoyé par la commande id -u :

ls /tmp/krb5cc_uid
<!--NeedCopy-->

Vérifiez que les tickets dans le cache d’identification Kerberos de l’utilisateur sont valides et n’ont pas expiré :

klist
<!--NeedCopy-->

Quittez la session.

exit
<!--NeedCopy-->

Le même test peut être réalisé en ouvrant une session directement sur la console KDE ou Gnome. Passez à l’étape 6 : installer le Linux VDA après vérification de la jonction du domaine.

Conseil :

Si l’authentification utilisateur réussit mais que vous ne pouvez pas afficher votre bureau lors de la connexion avec un compte de domaine, redémarrez la machine et réessayez.

Service d’authentification Quest

Configurer Quest sur le contrôleur de domaine

Cette procédure suppose que vous avez installé et configuré le logiciel Quest sur les contrôleurs de domaine Active Directory et disposez des droits Administrateur pour créer des objets ordinateur dans Active Directory.

Autoriser les utilisateurs de domaine à ouvrir une session sur des machines Linux VDA

Pour autoriser les utilisateurs de domaine à établir des sessions HDX sur une machine Linux VDA :

  1. Dans la console de gestion Utilisateurs et ordinateurs Active Directory, ouvrez les propriétés de l’utilisateur Active Directory pour ce compte d’utilisateur.
  2. Sélectionnez l’onglet Unix Account.
  3. Sélectionnez Unix-enabled.
  4. Définissez Primary GID Number sur l’ID d’un groupe d’utilisateurs de domaine.

Remarque :

Ces instructions sont les mêmes que pour la configuration d’utilisateurs de domaine pour l’ouverture de session à l’aide de la console, RDP, SSH ou tout autre protocole de communication à distance.

Configurer Quest sur un Linux VDA

Solution à l’application forcée de la stratégie SELinux

L’environnement RHEL par défaut applique entièrement SELinux. Cette mise en œuvre interfère avec les mécanismes IPC de socket de domaine Unix utilisés par Quest et empêche les utilisateurs de domaine d’ouvrir une session.

Le moyen pratique de remédier à ce problème consiste à désactiver SELinux. En tant qu’utilisateur racine, modifiez /etc/selinux/config en modifiant le paramètre SELinux :

SELINUX=disabled

Cette modification nécessite le redémarrage de la machine :

reboot
<!--NeedCopy-->

Important :

Utilisez ce paramètre avec précaution. La réactivation de l’application forcée de la stratégie SELinux après sa désactivation peut entraîner un verrouillage complet, même pour l’utilisateur racine et d’autres utilisateurs locaux.

Configurer le démon VAS

Le renouvellement automatique des tickets Kerberos doit être activé et déconnecté. L’authentification (ouverture de session en mode déconnecté) doit être désactivée :

sudo /opt/quest/bin/vastool configure vas vasd auto-ticket-renew-interval 32400

sudo /opt/quest/bin/vastool configure vas vas_auth allow-disconnected-auth false
<!--NeedCopy-->

Cette commande définit l’intervalle de renouvellement sur 9 heures (32 400 secondes), ce qui représente une heure de moins que la valeur par défaut de 10 heures pour la durée de vie d’un ticket. Définissez ce paramètre sur une valeur inférieure sur les systèmes avec une durée de vie de ticket plus courte.

Configuration de PAM et de NSS

Pour permettre l’ouverture de session d’utilisateur de domaine via HDX et d’autres services tels que su, ssh et RDP, exécutez les commandes suivantes pour configurer manuellement PAM et NSS :

sudo /opt/quest/bin/vastool configure pam

sudo /opt/quest/bin/vastool configure nss
<!--NeedCopy-->

Rejoindre un domaine Windows

Associez la machine Linux au domaine Active Directory à l’aide de la commande Quest vastool :

sudo /opt/quest/bin/vastool -u user join domain-name
<!--NeedCopy-->

L’utilisateur est un utilisateur de domaine disposant des autorisations nécessaires pour associer des ordinateurs au domaine Active Directory. Le paramètre domain-name est le nom DNS du domaine, par exemple, exemple.com.

Vérifier l’appartenance à un domaine

Le Delivery Controller requiert que toutes les machines VDA, Windows ou Linux, aient un objet ordinateur dans Active Directory. Pour vérifier qu’une machine Linux associée à Quest se trouve sur le domaine :

sudo /opt/quest/bin/vastool info domain
<!--NeedCopy-->

Si la machine est associée à un domaine, cette commande renvoie le nom de domaine. Si la machine n’est pas associée à un domaine, l’erreur suivante apparaît :

ERROR: No domain could be found.
ERROR: VAS_ERR_CONFIG: at ctx.c:414 in _ctx_init_default_realm
default_realm not configured in vas.conf. Computer may not be joined to domain

Vérifier l’authentification utilisateur

Pour vérifier que Quest peut authentifier les utilisateurs de domaine via PAM, ouvrez une session sur le Linux VDA à l’aide d’un compte d’utilisateur de domaine qui n’a jamais été utilisé.

ssh localhost -l domain\username

id -u
<!--NeedCopy-->

Vérifiez qu’un fichier cache d’identification Kerberos correspondant a été créé pour le UID renvoyé par la commande id -u :

ls /tmp/krb5cc_uid
<!--NeedCopy-->

Vérifiez que les tickets dans le cache d’identification de Kerberos sont valides et n’ont pas expiré :

/opt/quest/bin/vastool klist
<!--NeedCopy-->

Quittez la session.

exit
<!--NeedCopy-->

Passez à l’étape 6 : installer le Linux VDA après vérification de la jonction du domaine.

Centrify DirectControl

Rejoindre un domaine Windows

Une fois l’agent Centrify DirectControl installé, associez la machine Linux au domaine Active Directory en exécutant la commande Centrify adjoin :

su –
adjoin -w -V -u user domain-name
<!--NeedCopy-->

Le paramètre user est un utilisateur de domaine Active Directory disposant des autorisations nécessaires pour associer des ordinateurs au domaine Active Directory. Le paramètre domain-name est le nom du domaine auquel associer la machine Linux.

Vérifier l’appartenance à un domaine

Le Delivery Controller requiert que toutes les machines VDA, Windows ou Linux, aient un objet ordinateur dans Active Directory. Pour vérifier qu’une machine Linux associée à Centrify se trouve sur le domaine :

su –

adinfo
<!--NeedCopy-->

Vérifiez que la valeur Joined to domain est valide et que le mode CentrifyDC renvoie connected. Si le mode reste bloqué à l’état de démarrage, le client Centrify rencontre des problèmes de connexion au serveur ou d’authentification.

Des informations plus complètes sur le système et les diagnostics sont disponibles à l’aide de :

adinfo --sysinfo all

adinfo --diag
<!--NeedCopy-->

Testez la connectivité avec les différents services Active Directory et Kerberos.

adinfo --test
<!--NeedCopy-->

Passez à l’étape 6 : installer le Linux VDA après vérification de la jonction du domaine.

SSSD

Configurer Kerberos

Exécutez la commande suivante pour installer Kerberos :

sudo apt-get install krb5-user
<!--NeedCopy-->

Pour configurer Kerberos, ouvrez /etc/krb5.conf en tant qu’utilisateur racine et définissez les paramètres :

Remarque :

Configurez Kerberos en fonction de votre infrastructure AD. Les paramètres suivants sont destinés au modèle à domaine et à forêt uniques.

[libdefaults]

default_realm = REALM

dns_lookup_kdc = false

[realms]

REALM = {

admin_server = domain-controller-fqdn

kdc = domain-controller-fqdn

}

[domain_realm]

domain-dns-name = REALM

.domain-dns-name = REALM

La propriété domain-dns-name dans ce contexte est le nom de domaine DNS, tel que example.com. L’élément REALM est le nom du royaume Kerberos en majuscules, tel que EXEMPLE.COM.

Joindre le domaine

SSSD doit être configuré pour pouvoir utiliser Active Directory en tant que fournisseur d’identité et Kerberos pour l’authentification. Toutefois, SSSD ne fournit pas de fonctions de client Active Directory pour rejoindre le domaine et gérer le fichier keytab du système. Vous pouvez utiliser adcli, realmdou Samba à la place.

Remarque :

Cette section fournit des informations uniquement pour adcli et Samba.

  • Si vous utilisez adcli pour rejoindre le domaine, procédez comme suit :
  1. Installez adcli.

    sudo apt-get install adcli
    <!--NeedCopy-->
    
  2. Rejoignez le domaine avec adcli.

    Supprimez l’ancien fichier keytab du système et rejoignez le domaine à l’aide de :

    su -
    
    rm -rf /etc/krb5.keytab
    
    adcli join domain-dns-name -U user -H hostname-fqdn
    <!--NeedCopy-->
    

    user est un utilisateur du domaine autorisé à ajouter des machines au domaine. hostname-fqdn est le nom d’hôte au format FQDN de la machine.

    L’option -H est requise pour permettre à adcli de générer SPN au format host/hostname-fqdn@REALM, ce qui est requis par Linux VDA.

  3. Vérifiez l’appartenance à un domaine.

    Pour les machines Ubuntu 22.04 et Ubuntu 20.04, exécutez la commande adcli testjoin pour tester si les machines sont jointes au domaine.

    Pour une machine Ubuntu 18.04, exécutez la commande sudo klist -ket. La capacité de l’outil adcli est limitée. L’outil ne permet pas de tester si une machine est jointe au domaine. Le meilleur moyen consiste à vérifier que le fichier keytab système a été créé. Vérifiez que l’horodatage de chaque clé correspond à l’heure à laquelle la machine a été jointe au domaine.

  • Si vous utilisez Samba pour rejoindre le domaine, procédez comme suit :
  1. Installez le pack.

    sudo apt-get install samba krb5-user
    <!--NeedCopy-->
    
  2. Configurer Samba.

    Ouvrez /etc/samba/smb.conf et configurez les paramètres suivants :

    [global]

    workgroup = WORKGROUP

    security = ADS

    realm = REALM

    client signing = yes

    client use spnego = yes

    kerberos method = secrets and keytab

    WORKGROUP est le premier champ dans REALM, et REALM est le nom de domaine Kerberos en majuscules.

  3. Rejoignez le domaine avec Samba.

    Votre contrôleur de domaine doit être accessible et vous devez disposer d’un compte Windows avec les autorisations nécessaires pour ajouter des ordinateurs au domaine.

    sudo net ads join REALM -U user
    <!--NeedCopy-->
    

    REALM est le nom de domaine Kerberos en majuscules, et user est un utilisateur de domaine disposant des autorisations nécessaires pour ajouter les ordinateurs au domaine.

Configurer SSSD

Installer ou mettre à jour les packages requis :

Installez les packages de configuration et SSSD requis s’ils ne sont pas déjà installés :

sudo apt-get install sssd
<!--NeedCopy-->

Si les packages sont déjà installés, une mise à jour est recommandée :

sudo apt-get install --only-upgrade sssd
<!--NeedCopy-->

Remarque :

Par défaut, le processus d’installation dans Ubuntu configure automatiquement nsswitch.conf et le module de connexion PAM.

Configurer SSSD

Des modifications doivent être apportées à la configuration SSSD avant de démarrer le démon SSSD. Pour certaines versions de SSSD, le fichier de configuration /etc/sssd/sssd.conf n’est pas installé par défaut et doit être créé manuellement. En tant qu’utilisateur racine, créez ou ouvrez /etc/sssd/sssd.conf et configurez les paramètres suivants :

[sssd]

services = nss, pam

config_file_version = 2

domains = domain-dns-name

[domain/domain-dns-name]

id_provider = ad

access_provider = ad

auth_provider = krb5

krb5_realm = REALM

# Set krb5_renewable_lifetime higher if TGT renew lifetime is longer than 14 days

krb5_renewable_lifetime = 14d

# Set krb5_renew_interval to lower value if TGT ticket lifetime is shorter than 2 hours

krb5_renew_interval = 1h

krb5_ccachedir = /tmp

krb5_ccname_template = FILE:%d/krb5cc_%U

# This ldap_id_mapping setting is also the default value

ldap_id_mapping = true

override_homedir = /home/%d/%u

default_shell = /bin/bash

ad_gpo_map_remote_interactive = +ctxhdx

Remarque :

ldap_id_mapping est défini sur true de façon à ce que SSSD se charge de mapper les SID Windows avec les UID Unix. Sinon, Active Directory doit être en mesure de fournir des extensions POSIX. Le service PAM ctxhdx est ajouté au paramètre ad_gpo_map_remote_interactive.

Dans ce contexte, le paramètre domain-dns-name est le nom de domaine DNS, tel que exemple.com. L’élément REALM est le nom du royaume Kerberos en majuscules, tel que EXEMPLE.COM. Il n’est pas nécessaire de configurer le nom de domaine NetBIOS.

Pour de plus amples informations sur les paramètres de configuration, consultez les pages man pour sssd.conf et sssd-ad.

Le démon SSSD nécessite que le fichier de configuration dispose uniquement de l’autorisation d’accès en lecture de propriétaire :

sudo chmod 0600 /etc/sssd/sssd.conf
<!--NeedCopy-->

Démarrer le démon SSSD

Exécutez les commandes suivantes pour démarrer le démon SSSD maintenant et pour permettre le lancement du démon au démarrage de la machine :

sudo systemctl start sssd

sudo systemctl enable sssd
<!--NeedCopy-->

Configuration de PAM

Exécutez la commande suivante et assurez-vous que les options SSS authentication et Create home directory on login sont sélectionnées :

sudo pam-auth-update
<!--NeedCopy-->

Vérifier l’appartenance à un domaine

Le Delivery Controller requiert que toutes les machines VDA (VDA Windows et Linux) aient un objet ordinateur dans Active Directory.

  • Si vous utilisez adcli pour vérifier l’appartenance à un domaine, exécutez la commande sudo adcli info domain-dns-name pour afficher les informations sur le domaine.

  • Si vous utilisez Samba pour vérifier l’appartenance à un domaine, exécutez la commande sudo net ads testjoin pour vérifier que la machine est jointe à un domaine et la commande sudo net ads info pour vérifier des informations supplémentaires sur le domaine et l’objet Ordinateur.

Vérifier la configuration de Kerberos

Pour vérifier que Kerberos est correctement configuré pour être utilisé avec le VDA Linux, vérifiez que le fichier keytab système a été créé et contient des clés valides :

sudo klist -ke
<!--NeedCopy-->

Cette commande affiche la liste des clés disponibles pour les différentes combinaisons de noms principaux et de suites de chiffrement. Exécutez la commande kinit Kerberos pour authentifier la machine auprès du contrôleur de domaine à l’aide de ces clés :

sudo kinit -k MACHINE$@REALM
<!--NeedCopy-->

Les noms de machine et de domaine doivent être spécifiés en majuscules. Le signe dollar ($) doit être placé dans une séquence d’échappement avec une barre oblique inversée (\) pour empêcher le remplacement shell. Dans certains environnements, le nom de domaine DNS est différent du nom de domaine Kerberos. Assurez-vous que le nom de domaine est utilisé. Si cette commande réussit, aucun résultat n’est affiché.

Vérifiez que le TGT pour le compte de machine a été mis en cache à l’aide de :

sudo klist
<!--NeedCopy-->

Vérifier l’authentification utilisateur

SSSD ne fournit pas d’outil de ligne de commande pour tester l’authentification directement avec le démon. Cela peut uniquement être effectué via PAM.

Pour vérifier que le module PAM SSSD est correctement configuré, ouvrez une session sur le Linux VDA à l’aide d’un compte d’utilisateur de domaine qui n’a jamais été utilisé.

ssh localhost -l domain\username

id -u

klist

exit
<!--NeedCopy-->

Vérifiez que les tickets Kerberos renvoyés par la commande klist sont corrects pour cet utilisateur et qu’ils n’ont pas expiré.

En tant qu’utilisateur racine, vérifiez qu’un fichier cache de ticket correspondant a été créé pour l’UID renvoyé par la commande id -u précédente :

ls /tmp/krb5cc_uid
<!--NeedCopy-->

Le même test peut être réalisé en ouvrant une session directement sur KDE ou Gnome Display Manager. Passez à l’étape 6 : installer le Linux VDA après vérification de la jonction du domaine.

PBIS

Télécharger le package PBIS requis

sudo wget https://github.com/BeyondTrust/pbis-open/releases/download/9.1.0/pbis-open-9.1.0.551.linux.x86_64.deb.sh
<!--NeedCopy-->

Rendre le script d’installation PBIS exécutable

sudo chmod +x pbis-open-9.1.0.551.linux.x86_64.deb.sh
<!--NeedCopy-->

Exécuter le script d’installation PBIS

sudo sh pbis-open-9.1.0.551.linux.x86_64.deb.sh
<!--NeedCopy-->

Rejoindre un domaine Windows

Votre contrôleur de domaine doit être accessible et vous devez disposer d’un compte utilisateur Active Directory avec les autorisations nécessaires pour ajouter des ordinateurs au domaine :

sudo /opt/pbis/bin/domainjoin-cli join domain-name user
<!--NeedCopy-->

L’utilisateur est un utilisateur de domaine disposant des autorisations nécessaires pour ajouter des ordinateurs au domaine Active Directory. Le paramètre domain-name est le nom DNS du domaine, par exemple, exemple.com.

Remarque : pour définir Bash en tant que shell par défaut, exécutez la commande sudo /opt/pbis/bin/config LoginShellTemplate/bin/bash.

Vérifier l’appartenance à un domaine

Le Delivery Controller requiert que toutes les machines VDA (VDA Windows et Linux) aient un objet ordinateur dans Active Directory. Pour vérifier qu’une machine Linux associée à PBIS se trouve sur le domaine :

/opt/pbis/bin/domainjoin-cli query
<!--NeedCopy-->

Si la machine est associée à un domaine, cette commande renvoie les informations sur le domaine AD et l’unité d’organisation auxquels la machine est actuellement associée. Sinon, seul le nom d’hôte apparaît.

Vérifier l’authentification utilisateur

Pour vérifier que PBIS peut authentifier les utilisateurs de domaine via PAM, ouvrez une session sur le Linux VDA à l’aide d’un compte d’utilisateur de domaine qui n’a jamais été utilisé.

sudo ssh localhost -l domain\user

id -u
<!--NeedCopy-->

Vérifiez qu’un fichier cache d’identification Kerberos correspondant a été créé pour le UID renvoyé par la commande id -u :

ls /tmp/krb5cc_uid
<!--NeedCopy-->

Quittez la session.

exit
<!--NeedCopy-->

Passez à l’étape 6 : installer le Linux VDA après vérification de la jonction du domaine.

Étape 4 : installer .NET Runtime 6.0 en tant que condition préalable

Avant d’installer Linux VDA, installez .NET Runtime 6.0 conformément aux instructions de l’article https://docs.microsoft.com/en-us/dotnet/core/install/linux-package-managers.

Après avoir installé .NET Runtime 6.0, exécutez la commande which dotnet pour trouver votre chemin d’exécution.

En fonction de la sortie de la commande, définissez le chemin binaire de .NET Runtime. Par exemple, si la sortie de la commande est /aa/bb/dotnet, utilisez /aa/bb comme chemin binaire .NET.

Étape 5 : télécharger le package Linux VDA

  1. Accédez à la page de téléchargement de Citrix Virtual Apps and Desktops.
  2. Développez la version appropriée de Citrix Virtual Apps and Desktops.
  3. Cliquez sur Composants pour télécharger le package Linux VDA qui correspond à votre distribution Linux et la clé publique GPG que vous pouvez utiliser pour vérifier l’intégrité du package Linux VDA.

    Pour vérifier l’intégrité du package Linux VDA à l’aide de la clé publique, importez la clé publique dans la base de données DEB et exécutez les commandes suivantes :

    ```
    sudo apt-get install dpkg-sig
    gpg --import <path to the public key>
    dpkg-sig --verify <path to the Linux VDA package>
    <!--NeedCopy--> ```
    

Étape 6 : installer le Linux VDA

Étape 6a : installer le Linux VDA

Installez le logiciel Linux VDA à l’aide du gestionnaire de package Debian :

Pour Ubuntu 22.04 :

sudo dpkg -i xendesktopvda_<version>.ubuntu22.04_amd64.deb
<!--NeedCopy-->

Pour Ubuntu 20.04 :

sudo dpkg -i xendesktopvda_<version>.ubuntu20.04_amd64.deb
<!--NeedCopy-->

Pour Ubuntu 18.04 :

sudo dpkg -i xendesktopvda_<version>.ubuntu18.04_amd64.deb
<!--NeedCopy-->

Liste des dépendances Debian pour Ubuntu 22.04 :

postgresql >= 14

libpostgresql-jdbc-java >= 42.3

openjdk-11-jdk >= 11

imagemagick >= 8:6.9.11

libgtkmm-3.0-1v5 >= 3.24.5

ufw >= 0.36

ubuntu-desktop >= 1.481

libxrandr2 >= 2:1.5.2

libxtst6 >= 2:1.2.3

libxm4 >= 2.3.8

util-linux >= 2.37

gtk3-nocsd >= 3

bash >= 5.1

findutils >= 4.8.0

sed >= 4.8

cups >= 2.4

libmspack0 >= 0.10

ibus >= 1.5

libgoogle-perftools4 >= 2.9~

libpython3.10 >= 3.10~

libsasl2-modules-gssapi-mit >= 2.1.~

libnss3-tools >= 2:3.68

libqt5widgets5 >= 5.15~

libqrencode4 >= 4.1.1

libimlib2 >= 1.7.4
<!--NeedCopy-->

Liste des dépendances Debian pour Ubuntu 20.04 :

postgresql >= 12

libpostgresql-jdbc-java >= 42.2

openjdk-11-jdk >= 11

imagemagick >= 8:6.9.10

libgtkmm-3.0-1v5 >= 3.24.2

ufw >= 0.36

ubuntu-desktop >= 1.450

libxrandr2 >= 2:1.5.2

libxtst6 >= 2:1.2.3

libxm4 >= 2.3.8

util-linux >= 2.34

gtk3-nocsd >= 3

bash >= 5.0

findutils >= 4.7.0

sed >= 4.7

cups >= 2.3

libmspack0 >= 0.10

ibus >= 1.5

libgoogle-perftools4 >= 2.7~

libpython3.8 >= 3.8~

libsasl2-modules-gssapi-mit >= 2.1.~

libnss3-tools >= 2:3.49

libqt5widgets5 >= 5.7~

libqrencode4 >= 4.0.0

libimlib2 >= 1.6.1
<!--NeedCopy-->

Liste des dépendances Debian pour Ubuntu 18.04 :

postgresql >= 9.5

libpostgresql-jdbc-java >= 9.2

openjdk-11-jdk >= 11

imagemagick >= 8:6.8.9.9

ufw >= 0.35

libgtkmm-3.0-1v5 >= 3.22.2

ubuntu-desktop >= 1.361

libxrandr2 >= 2:1.5.0

libxtst6 >= 2:1.2.2

libxm4 >= 2.3.4

util-linux >= 2.27.1

gtk3-nocsd >= 3

bash >= 4.3

findutils >= 4.6.0

sed >= 4.2.2

cups >= 2.1

libmspack0 >= 0.6

ibus >= 1.5

libsasl2-modules-gssapi-mit >= 2.1.~

libgoogle-perftools4 >= 2.4~

libpython3.6 >= 3.6~

libnss3-tools >= 2:3.35

libqt5widgets5 >= 5.7~

libqrencode3 >= 3.4.4

libimlib2 >= 1.4.10
<!--NeedCopy-->

Remarque :

pour une matrice des distributions Linux et des versions Xorg que cette version du VDA Linux prend en charge, consultez la section Configuration système requise.

Étape 6b : mettre à niveau le Linux VDA (facultatif)

Vous pouvez effectuer une mise à niveau d’une installation existante à partir des deux versions précédentes et d’une version LTSR.

sudo dpkg -i <PATH>/<Linux VDA deb>
<!--NeedCopy-->

Remarque :

La mise à niveau d’une installation existante remplace les fichiers de configuration sous /etc/xdl. Avant de procéder à une mise à niveau, assurez-vous de sauvegarder les fichiers.

Étape 7 : installer les pilotes NVIDIA GRID

Pour activer HDX 3D Pro, vous devez installer les pilotes NVIDIA GRID sur votre hyperviseur et sur les machines VDA.

Pour installer et configurer le gestionnaire de GPU virtuel NVIDIA GRID (pilote hôte) sur les hyperviseurs spécifiques, consultez les guides suivants :

Pour installer et configurer les pilotes de VM invitée NVIDIA GRID, effectuez les opérations générales suivantes :

  1. Assurez-vous que la VM invitée est arrêtée.
  2. Dans le panneau de configuration de l’hyperviseur, attribuez un GPU à la VM.
  3. Démarrez la VM.
  4. Installez le pilote de VM invitée sur la VM.

Étape 8 : configurer le Linux VDA

Après l’installation du package, vous devez configurer le VDA Linux en exécutant le script ctxsetup.sh. Avant d’apporter des modifications, le script vérifie l’environnement et s’assure que toutes les dépendances sont installées. Si nécessaire, vous pouvez exécuter le script à tout moment pour modifier les paramètres.

Vous pouvez exécuter le script manuellement avec invite, ou automatiquement avec réponses pré-configurées. Consultez l’aide sur le script avant de continuer :

sudo /opt/Citrix/VDA/sbin/ctxsetup.sh --help
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Configuration avec invites

Exécutez une configuration manuelle avec questions :

sudo /opt/Citrix/VDA/sbin/ctxsetup.sh
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Configuration automatique

Pour une installation automatique, les options requises par le script d’installation peuvent être fournies avec des variables d’environnement. Si toutes les variables requises sont présentes, le script ne demande aucune information à l’utilisateur, ce qui permet de procéder à l’installation à l’aide d’un script.

Les variables d’environnement prises en charge sont les suivantes :

  • CTX_XDL_SUPPORT_DDC_AS_CNAME=Y | N : le Linux VDA prend en charge la spécification d’un nom de Delivery Controller à l’aide d’un enregistrement DNS CNAME. La valeur est définie par défaut sur N.
  • CTX_XDL_DDC_LIST=’list-ddc-fqdns’ : le Linux VDA requiert une liste séparée par des espaces de noms de domaines complets de Delivery Controller. Cette dernière sera utilisée pour l’enregistrement auprès d’un Delivery Controller. Au moins un alias de nom de domaine complet (FQDN) ou CNAME doit être spécifié.
  • CTX_XDL_VDA_PORT = port-number : le Linux VDA communique avec les Delivery Controller à l’aide d’un port (80 par défaut) TCP/IP.
  • CTX_XDL_REGISTER_SERVICE = Y | N : les services Linux VDA sont lancés après le démarrage de la machine. Valeur définie sur Y par défaut.
  • CTX_XDL_ADD_FIREWALL_RULES=Y | N : les services Linux VDA requièrent que les connexions réseau entrantes soient autorisées via le pare-feu du système. Vous pouvez ouvrir automatiquement les ports requis (ports 80 et 1494 par défaut) dans le pare-feu du système pour Linux VDA. Valeur définie sur Y par défaut.
  • CTX_XDL_AD_INTEGRATION = 1 | 2 | 3 | 4 |5 : le Linux VDA requiert que les paramètres de configuration Kerberos s’authentifient auprès des Delivery Controller. La configuration de Kerberos est déterminée depuis l’outil d’intégration d’Active Directory installé et configuré sur le système. Spécifiez la méthode d’intégration d’Active Directory prise en charge à utiliser :
    • 1 – Samba Winbind
    • 2 – Quest Authentication Service
    • 3 – Centrify DirectControl
    • 4 – SSSD
    • 5 – PBIS
  • CTX_XDL_HDX_3D_PRO=Y | N : Linux VDA prend en charge HDX 3D Pro, un ensemble de technologies d’accélération GPU conçues pour optimiser la virtualisation des applications riches en graphiques. Si HDX 3D Pro est sélectionné, le Virtual Delivery Agent doit être configuré pour le mode Bureaux VDI (session unique), c’est-à-dire, CTX_XDL_VDI_MODE=Y.
  • CTX_XDL_VDI_MODE=Y | N : indique si la machine est configurée comme modèle de mise à disposition de bureaux dédiés (VDI) ou comme modèle de mise à disposition de bureaux partagés hébergés. Pour les environnements HDX 3D Pro, définissez cette variable sur Y. Elle est définie par défaut sur N.
  • CTX_XDL_SITE_NAME=dns-name : le Linux VDA découvre les serveurs LDAP à l’aide de DNS. Pour limiter les résultats de recherche DNS à un site local, spécifiez un nom de site DNS. Cette variable est définie sur <none> par défaut.
  • CTX_XDL_LDAP_LIST=’list-ldap-servers’ : le Linux VDA envoie une requête vers le DNS pour découvrir les serveurs LDAP. Si DNS ne peut pas fournir d’enregistrements de service LDAP, vous pouvez entrer une liste séparée par des espaces de noms de domaines complets LDAP avec ports LDAP. Par exemple, ad1.mycompany.com:389 ad2.mycompany.com:3268 ad3.mycompany.com:3268. Si vous spécifiez le numéro de port LDAP 389, le Linux VDA interroge chaque serveur LDAP du domaine spécifié en mode d’interrogation. S’il existe un nombre x de stratégies et y de serveurs LDAP, le Linux VDA effectue le total de X multiplié par Y requêtes. Si le temps d’interrogation dépasse le seuil, les ouvertures de session peuvent échouer. Pour activer les requêtes LDAP plus rapides, activez le catalogue global sur un contrôleur de domaine et définissez le numéro de port LDAP correspondant sur 3268. Cette variable est définie sur <none> par défaut.
  • CTX_XDL_SEARCH_BASE=search-base-set : le Linux VDA envoie une requête à LDAP via une base de recherche définie sur la racine du domaine Active Directory (par exemple, D, DC=mycompany,DC=com). Toutefois, pour améliorer les performances de recherche, vous pouvez spécifier une base de recherche (par exemple, OU=VDI,DC=mycompany,DC=com). Cette variable est définie sur <none> par défaut.
  • CTX_XDL_FAS_LIST=’list-fas-servers’ : les serveurs du service d’authentification fédérée (FAS) sont configurés via la stratégie de groupe AD. Le Linux VDA ne prend pas en charge la stratégie de groupe AD mais vous pouvez fournir une liste de serveurs FAS séparés par des points-virgules. La séquence doit être la même que celle configurée dans la stratégie de groupe AD. Si une adresse de serveur est supprimée, remplissez son espace vide avec la chaîne de texte <none> et ne modifiez pas l’ordre des adresses de serveur. Pour communiquer correctement avec les serveurs FAS, assurez-vous d’ajouter un numéro de port conforme à celui spécifié sur les serveurs FAS, par exemple CTX_XDL_FAS_LIST=’fas_server_1_url:port_number; fas_server_2_url: port_number; fas_server_3_url: port_number’.
  • CTX_XDL_DOTNET_ runtime_path=Path-to-install-dotnet-runtime : chemin d’accès à l’installation de .NET Runtime 6.0 pour la prise en charge du nouveau Broker Agent Service (ctxvda). Le chemin par défaut est /usr/bin.
  • CTX_XDL_DESKTOP _ENVIRONMENT=gnome/gnome-classic/mate : spécifie l’environnement de bureau GNOME, GNOME Classic ou MATE à utiliser dans les sessions. Si vous ne spécifiez pas la variable, le bureau actuellement installé sur le VDA est utilisé. Toutefois, si le bureau actuellement installé est MATE, vous devez définir la valeur de la variable sur mate.

    Vous pouvez également modifier l’environnement de bureau d’un utilisateur de session cible en procédant comme suit :

    1. Créez un fichier .xsession sous le répertoire $HOME/<username> sur le VDA.
    2. Modifiez le fichier .xsession pour spécifier un environnement de bureau basé sur les distributions.

      • Pour le bureau MATE

         MSESSION="$(type -p mate-session)"  
         if [ -n "$MSESSION" ]; then  
           exec mate-session  
         fi  
        
      • Pour le bureau GNOME Classic

         GSESSION="$(type -p gnome-session)"  
         if [ -n "$GSESSION" ]; then  
         export GNOME_SHELL_SESSION_MODE=classic  
         exec gnome-session --session=gnome-classic  
         fi  
        
      • Pour le bureau GNOME

         GSESSION="$(type -p gnome-session)"  
         if [ -n "$GSESSION" ]; then  
         exec gnome-session  
         fi  
        
    3. Partagez l’autorisation de fichier 700 avec l’utilisateur de la session cible.

    À partir de la version 2209, les utilisateurs de session peuvent personnaliser leurs environnements de bureau. Pour activer cette fonctionnalité, vous devez installer au préalable des environnements de bureau commutables sur le VDA. Pour plus d’informations, consultez Environnements de bureau personnalisés par utilisateurs de session.

  • CTX_XDL_START_SERVICE = Y | N : indique si les services Linux VDA sont lancés lorsque la configuration de Linux VDA est terminée. Valeur définie sur Y par défaut.
  • CTX_XDL_TELEMETRY_SOCKET_PORT : port socket permettant d’écouter Citrix Scout. Le port par défaut est 7503.
  • CTX_XDL_TELEMETRY_PORT : port de communication avec Citrix Scout. Le port par défaut est 7502.

Définissez la variable d’environnement et exécutez le script de configuration :

export CTX_XDL_SUPPORT_DDC_AS_CNAME=Y|N

export CTX_XDL_DDC_LIST='list-ddc-fqdns'

export CTX_XDL_VDA_PORT=port-number

export CTX_XDL_REGISTER_SERVICE=Y|N

export CTX_XDL_ADD_FIREWALL_RULES=Y|N

export CTX_XDL_AD_INTEGRATION=1|2|3|4|5

export CTX_XDL_HDX_3D_PRO=Y|N

export CTX_XDL_VDI_MODE=Y|N

export CTX_XDL_SITE_NAME=dns-site-name | '<none>'

export CTX_XDL_LDAP_LIST='list-ldap-servers' | '<none>'

export CTX_XDL_SEARCH_BASE=search-base-set | '<none>'

export CTX_XDL_FAS_LIST='list-fas-servers' | '<none>'

export CTX_XDL_DOTNET_RUNTIME_PATH=path-to-install-dotnet-runtime

export CTX_XDL_DESKTOP_ENVIRONMENT= gnome | gnome-classic | mate | '<none>'

export CTX_XDL_TELEMETRY_SOCKET_PORT=port-number

export CTX_XDL_TELEMETRY_PORT=port-number

export CTX_XDL_START_SERVICE=Y|N

sudo -E /opt/Citrix/VDA/sbin/ctxsetup.sh
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Lors de l’exécution de la commande sudo, entrez l’option -E pour transmettre les variables d’environnement au nouveau shell créé. Nous vous recommandons de créer un fichier de script shell à partir des commandes précédentes avec #!/bin/bash en tant que première ligne.

Vous pouvez également spécifier tous les paramètres avec une seule commande :

sudo CTX_XDL_SUPPORT_DDC_AS_CNAME=Y|N \

CTX_XDL_DDC_LIST='list-ddc-fqdns' \

CTX_XDL_VDA_PORT=port-number \

CTX_XDL_REGISTER_SERVICE=Y|N \

CTX_XDL_ADD_FIREWALL_RULES=Y|N \

CTX_XDL_AD_INTEGRATION=1|2|3|4|5 \

CTX_XDL_HDX_3D_PRO=Y|N \

CTX_XDL_VDI_MODE=Y|N \

CTX_XDL_SITE_NAME=dns-name \

CTX_XDL_LDAP_LIST='list-ldap-servers' \

CTX_XDL_SEARCH_BASE=search-base-set \

CTX_XDL_FAS_LIST='list-fas-servers' \

CTX_XDL_DOTNET_RUNTIME_PATH=path-to-install-dotnet-runtime \

CTX_XDL_DESKTOP_ENVIRONMENT=gnome|gnome-classic|mate \

CTX_XDL_TELEMETRY_SOCKET_PORT=port-number \

CTX_XDL_TELEMETRY_PORT=port-number \

CTX_XDL_START_SERVICE=Y|N \

/opt/Citrix/VDA/sbin/ctxsetup.sh
<!--NeedCopy-->

Supprimer les modifications de configuration

Dans certains scénarios, il peut être nécessaire de supprimer les modifications de configuration effectuées par le script ctxsetup.sh sans désinstaller le package Linux VDA.

Consultez l’aide sur ce script avant de continuer :

sudo /opt/Citrix/VDA/sbin/ctxcleanup.sh --help
<!--NeedCopy-->

Pour supprimer les modifications de configuration :

sudo /opt/Citrix/VDA/sbin/ctxcleanup.sh
<!--NeedCopy-->

Important :

Ce script supprime toutes les données de configuration de la base de données et empêche Linux VDA de fonctionner.

Journaux de configuration

Les scripts ctxsetup.sh et ctxcleanup.sh affichent les erreurs dans la console, avec des informations supplémentaires consignées dans le fichier journal de configuration /tmp/xdl.configure.log.

Redémarrez les services de Linux VDA pour que les modifications prennent effet.

Désinstaller le logiciel Linux VDA

Pour vérifier que le Linux VDA est installé et pour afficher la version du package installé :

dpkg -l xendesktopvda
<!--NeedCopy-->

Pour afficher des informations plus détaillées :

apt-cache show xendesktopvda
<!--NeedCopy-->

Pour désinstaller le logiciel Linux VDA :

dpkg -r xendesktopvda
<!--NeedCopy-->

Remarque :

La désinstallation du logiciel Linux VDA supprime le PostgreSQL associé et d’autres données de configuration. Toutefois, le package PostgreSQL et les autres packages dépendants qui ont été installés avant l’installation du Linux VDA ne sont pas supprimés.

Conseil :

Les informations figurant dans cette section ne couvrent pas la suppression de packages dépendants, y compris PostgreSQL.

Étape 9 : exécuter XDPing

Exécutez sudo /opt/Citrix/VDA/bin/xdping pour vérifier les problèmes de configuration courants avec un environnement VDA Linux. Pour de plus amples informations, consultez la section XDPing.

Étape 10 : exécuter le Linux VDA

Une fois que vous avez configuré le Linux VDA à l’aide du script ctxsetup.sh, utilisez les commandes suivantes pour contrôler le Linux VDA.

Démarrer Linux VDA :

Pour démarrer les services Linux VDA :

sudo systemctl start ctxhdx

sudo systemctl start ctxvda
<!--NeedCopy-->

Arrêter Linux VDA :

Pour arrêter les services Linux VDA :

sudo systemctl stop ctxvda

sudo systemctl stop ctxhdx
<!--NeedCopy-->

Remarque :

Avant d’arrêter les services ctxvda et ctxhdx, exécutez la commande service ctxmonitorservice stop pour arrêter le démon du service de surveillance. Sinon, le démon du service de surveillance redémarre les services que vous avez arrêtés.

Redémarrer Linux VDA :

Pour redémarrer les services Linux VDA :

sudo systemctl stop ctxvda

sudo systemctl restart ctxhdx

sudo systemctl restart ctxvda
<!--NeedCopy-->

Vérifier l’état de Linux VDA :

Pour vérifier l’état de fonctionnement des services de Linux VDA :

sudo systemctl status ctxvda

sudo systemctl status ctxhdx
<!--NeedCopy-->

Étape 11 : créer le catalogue de machines dans Citrix Virtual Apps ou Citrix Virtual Desktops

Le processus de création de catalogues de machines et d’ajout de machines Linux VDA est similaire à l’approche traditionnelle avec les VDA Windows. Pour obtenir une description plus détaillée de la méthode à utiliser pour effectuer ces tâches, consultez les sections Créer des catalogues de machines et Gérer des catalogues de machines.

Pour la création de catalogues de machines contenant des machines Linux VDA, il existe quelques restrictions qui différencient ce processus de la création de catalogues de machines pour VDA Windows :

  • Pour le système d’exploitation, sélectionnez :
    • l’option OS à sessions multiples pour un modèle de mise à disposition de bureaux partagés hébergés ;
    • l’option OS mono-session pour un modèle de mise à disposition de bureaux dédiés VDI.
  • Ne combinez pas de machines Linux VDA et Windows dans le même catalogue de machines.

Remarque :

Les versions antérieures de Citrix Studio ne prenaient pas en charge la notion de « système d’exploitation Linux. » Toutefois, la sélection de l’option OS de serveur Windows ou OS de serveur implique un modèle de mise à disposition équivalent de bureaux partagés hébergés. La sélection de l’option OS de bureau Windows ou OS de bureau implique un modèle de mise à disposition d’un utilisateur unique par machine.

Conseil :

Si une supprimez une machine puis que vous la rejoignez au domaine Active Directory, vous devez supprimer et rajouter la machine au catalogue de machines.

Étape 12 : créer le groupe de mise à disposition dans Citrix Virtual Apps ou Citrix Virtual Desktops

Le processus de création d’un groupe de mise à disposition et d’ajout de catalogues de machines contenant des machines Linux VDA est presque identique aux machines VDA Windows. Pour obtenir une description plus détaillée de la méthode à utiliser pour effectuer ces tâches, consultez la section Créer des groupes de mise à disposition.

Lors de la création de groupes de mise à disposition qui contiennent des catalogues de machines Linux VDA, les restrictions suivantes s’appliquent :

  • Assurez-vous que les utilisateurs et les groupes AD que vous sélectionnez ont été correctement configurés pour l’ouverture de session sur les machines Linux VDA.
  • N’autorisez pas l’ouverture de session d’utilisateurs non authentifiés (anonymes).
  • Ne combinez pas le groupe de mise à disposition avec des catalogues de machines contenant des machines Windows.

Pour plus d’informations sur la création de catalogues de machines et de groupes de mise à disposition, consultez Citrix Virtual Apps and Desktops 7 2209.